Liverpool FC Forum

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Sorry i hope you will translate yourself.....

Onze garçons dans le vent. Hommage de rigueur quand on foule le sol nourricier du quatuor musical le plus célèbre de la planète. Se mettre jeudi soir au diapason de leur génie n'est pas une sinécure. Onze garçons dans le vent. Titre prémonitoire ? Prions que les couloirs brumeux d'Anfield Road ne se métamorphose pas pour notre OM en corridor de la mort. Viva la muerte, c'est bon pour les ibériques, les chicanos ou les gauchos. Nous, on est là théoriquement pour décrocher les deux oreilles et la queue des pit-bulls du Mersey.


All you need is love affirmaient Paul et John en chœur. Sauf votre respect, messieurs, là il faudra plutôt de la hargne et une bonne dose d'opportunisme, le tout arrosé d'un max de baraka. Indispensables, si on veut  ressortir de l'enceinte mythique en état de croire raisonnablement à la qualification au match retour at home. Anigo voulait du gros. Il en a, même si le passé légendaire du Liverpool F.C écrase de tout son poids la pâle réalité que vivent actuellement les hommes de Gérard Houllier.



Le manager frenchy est pas au mieux en ce moment. Non seulement il est toujours en délicatesse avec son  palpitant mais en plus il reçoit des lettres anonymes qui le menace de mort. Où va-t-on ? Il fut un temps où le ballon sphérique était considéré comme un sport authentique. C'est devenu désormais une mascarade grotesque, un genre de casino sanglant où l'enjeu dépasse largement le jeu. Il va bientôt falloir protéger un coach plus que le pape ou le président des amerloques. La course ou la vie ! Absence de résultat, tu meurs. Gazé sur gazon vert lira-t-on un jour sur les baveux. La mort en ce jardin  aurait jadis titré Luis Bunuel. En l'occurrence, plutôt en cette pelouse…



M'enfin, on s'égare là. Revenons à nos brebis ou plutôt à nos chèvres. Faut avouer (à moitié pardonné) que ce match-là, ça nous turlupine le cortex. Drôle de remue-méninges. On y phosphore Eight days a week. Après la déroute en terre corse, va falloir surtout se la jouer Dear prudence. Même si, au jour d'aujourd'hui, les rosbifs ne sont pas au top, ils possèdent quand même dans leurs rangs des gugusses qui sont loin d'être des Savoy truffle. Excusez du peu. Déjà l'attaque, quand tu lis les blazes sur le papelard, ça te fait plus que froid dans le dos. Au choix, une vague impression de banquise qui te refroidit les choses ou une chaude sensation de gulf-stream sous les fesses. C'est selon… Anatomique dans les deux cas, moi je vous le dis !



Atomique aussi, avec Owen évidemment en tête de pont. Même si on la connut plus en réussite avant sa déchirure à la cuisse, ce type-là, on peut dire que c'est un cas. Plus rapide qu'un Blackbird, il ne siffle néanmoins jamais comme le volatile anthracite. Pendant un match, c'est plutôt l'homme en noir qui s'acquitte de cette tâche tandis que le jeune killer vient de terroriser un gardien aux abois. N'empêche, le Michael lui-aussi a reçu du courrier assassin. Un supporter mécontent des performances de son team intime, dit-on. My God, ça rigole pas en perfide Albion…



A côté de lui y'a Heskey, Mimile de son p'tit nom. Une sorte de tracteur black hyper-puissant, certes un peu balourd mais très difficile à stopper quand il est lancé. Sur le banc, on trouvera çà et là des cireurs respectables tel que l'ancien pingouin El Hadji Diouf ou nos deux espoirs havrais Tony Le Tallec et Simana Pongolle. On a connu pire. Remarque bien dans l'entre-jeu, c'est kif-kif  bourricot. On peut voir venir avec l'australien Harry Kewell et son pied gauche magique, l'inlassable récupérateur Steven Gerrard et son compatriote Danny Murphy, sans oublier Bruno Cheyrou ex-dogue de son état ou encore le géant teuton Dietmar Hamann.



Derrière, on mentionnera tout particulièrement la présence pour le moins conséquente du colosse finlandais Hyppia et de l'international helvète Henchoz. Ajoutons à cette liste non exhaustive, une pléiade de joueurs français ou ayant fréquenté le championnat gaulois tel Vignal, Riise, Smicer, Traore et autre Diao. On brasse le tout et on obtient un cocktail somme toute explosif, un melting-pot  bien dans l'air du temps qui nous promet à coup sûr  A Hard Day's Night…



Chez nous, tandis que le Doctor Robert est en passe de finaliser son dernier caprice, en l'occurrence le retour de Laurent Blanc sur la Canebière, l'infirmier Anigo tente de panser tant bien que mal les bleus à l'âme de ses ouailles et d'écoper l'inondation des locaux avec des écumoires... Pour traverser la Manche, faudrait plus que des Honey pie ou des marins d'eau douce. Liverpool, c'est réservé aux barreurs de gros temps. Contre les buveurs de thé, il s'agirait à la fois de faire bloc et preuve de rigueur défensive. Come together répétera José à ses joueurs en boucle et en english dans le texte. Get back s'égosillera-t-il le long de sa ligne de touche quand nos phocéens oublieront les fondamentaux…



Quoiqu'il en soit, nous brûlons d'impatience d'assister à ce combat dantesque. A Anfield Road, les joutes européennes reprennent leur véritable dimension. Celle du dépassement de soi, du courage voire de l'héroïsme… Ici le vieil adage cornélien-à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire-ne peut rien signifier. A l'unisson de son fabuleux Kop qui une fois encore, chantera inlassablement l'illustrissime "You'll never walk alone", nul doute que les Reds tenteront de nous presser sans répit sur nos bases. Avec ces drôles de musicos, la fausse note pour nos couleurs peut retentir à chaque instant. Les couacs et le manque de rythme seront sanctionnés sur le champ. En redoutant un possible hallali, allez l'OM et Let it be…



boeuf mode

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Eleven boys in the wind.  Homage of rigour when one presses the feeder ground of the musical quartet most famous of planet.  To spend Thursday evening with the tuning fork of their genius is not a sinecure.  Eleven boys in the wind.  Premonitory title?  Let us request that the misty corridors of Anfield Road are not metamorphosed for our OM in corridor of death.  Viva the muerte, it is good for the Iberian ones, the chicanos or the gauchos.  Us, one is there theoretically to take down the two ears and the tail of the pit-bulldozers of the Mersey.

All you need is coils affirmed Paul and John in choir.  Except your respect, Gentlemen, there one will rather need aggressiveness and a good amount of opportunism, the sprinkled whole of a max of luck.  Essential, if one wants to arise from the mythical enclosure in a position to believe reasonably in the qualification with the return match At home.  Anigo wanted the large one.  It has some, even if the legendary past of Liverpool F.C crushes of all its weight the pale reality which currently the men of Gerard Houllier live. 

The manager frenchy is not as well as possible in this moment.  Not only it is always in delicacy with its palpitating but in more it receives anonymous letters which it death threat.  Where does one go?  He was a time when the spherical balloon was regarded as an authentic sport.  It became from now on a grotesque masquerade, a kind of bloody casino where the stake largely exceeds the play.  It soon a coach should be protected more than the pope or the president of the amerloques ones.  The race or life!  Absence of result, you die.  Gazé on green grass will read one one day on the slobbery ones.  Death in this garden would have formerly titrated Luis Bunuel.  In fact, rather in this lawn ... 

Me finally, one is mislaid there.  Let us return to our ewes or rather to our goats.  Is necessary to acknowledge (with half forgiven) that this match, that us turlupine the cortex.  Funny of brain-storming.  There y phosphorus Eight days is week.  After the Corsican ground rout, Dear prudence will especially be necessary to be played it.  Even if, at the day of today, the rosbifs are not with the signal, they have nevertheless in their rows of the gugusses which are far from being from Savoy truffle.  Excuse little.  Already the attack, when you read the blazes on the paper, that makes you than cold more in the back.  With the choice, a vague impression of ice-barrier which kills you the things or a heat feeling of GULF-stream under the buttocks.  It is according to?  Anatomical in both cases, me I say it to you! 

Atomic also, with Owen obviously at the head of bridge.  Even if one knew it more in success before his tear with the thigh, this type, one can say that it is a case.  Faster than Blackbird, it never whistles nevertheless like the bird anthracite.  During a match, it is rather the man in black which discharges EC task while the young person killer has just terrorized a guard with the barks.  Do not prevent, Michael received mail assassin to him-also.  One to support dissatisfied with the performances of its intimate TEAM, says one.  Doesn't My God, that laugh in Perfidious Albion ...

Concurrently to him y' has Heskey, Mimile of sound p' tit name.  A kind of tractor black hyper-powerful, certainly a little unbalance but very difficult to stop when it is launched.  On the bench, one will find that and there sizeable shoeshiners such as the old penguin El Hadji Diouf or our two hopes havrais Tony Tallec and Simana Pongolle.  One knew worse.  Notice in the between-play, it is kif-kif-kif small dunkey.  One can see coming with Australian Harry Kewell and his magic left foot, the tireless recuperator Steven Gerrard and his compatriot Danny Murphy, without forgetting Bruno Cheyrou ex-mastiff of his state or the giant teuton Dietmar Hamann. 

Behind, one will particularly mention the at the very least consequent presence of the Finnish colossus Hyppia and international the helvète Henchoz.  Let us add to this nonexhaustive list, a pleiad of French players or having attended the Gallic championship such Vignal, Riise, Smicer, Traore and another Diao.  One brews the whole and one obtains an altogether explosive cocktail, a melting-pot well in the air of the time which undoubtedly promises to us A Hardware Day' S Night ... 

On our premises, while Doctor Robert is on the way to finalize its last whim, in fact the return of Laurent Blanc on Canebière, the Anigo male nurse tries after a fashion to bandage the blue ones with the heart of his flocks and to bail out the flood of the buildings with skimmers...  To cross the English Channel, would be necessary more than of black and white Honey or the landlubbers.  Liverpool, it is reserved to the coxswains of heavy weather.  Against the drinkers of tea, it would at the same time be a question of showing block and defensive rigour.  Come together will repeat José with its players in loop and english in the text.  Will Get back bawl along its touchline when our phocéens will forget the fundamental ones ...

Though it is, we burn impatience to attend this dantesque combat.  In Anfield Road, the European tournaments take again their true dimension.  That of the going beyond of oneself, the courage even of heroism?  Here the old proverb cornélien-with overcoming without danger, one triumphs without glory- cannot nothing mean.  With the unison with its fabulous Kop which once again, will sing inlassablement the illustrissime "You' ll never walk alone", there is no doubt that Reds will try to press us without respite on our bases.  With these funny of musicos, note for our colors distorts it can resound at every moment.  The false notes and the lack of rate/rhythm will be sanctioned at once.  While fearing possible a hallali, be the OM and Let it Be ...

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